Ringard ou souffle de sauvegarde ?
Quand je dis à mon entourage (pas tous) que je suis membre d'un Cercle des Fermières du Québec, les préjugés fusent. De quétaine (traduction pour mes amies d'outremer : ringard), à « Il va falloir que tu sois parfaite » ; tout y passe. Tu dois être bonne en cuisine (ici je ne dément pas, même si certains jours...Mais peut-on demander à des ados d'être toujours contents ? Pourtant personne ne rechignent lorsque je sors du pain frais du jour du four ). (Oh pardon de cette parenthèse éditoriale d'une mère débordée.).
Pourtant, chez les 'Fermières' on y a du bon temps, en atelier (non, on ne tricote pas de pantouffles en 'phantex' et non mes chaussettes conffeti ne sont pas terminées) comme à la maison, à préparer plein de trucs maison et artisanaux pour impressionner les copines... et parfois la famille. ici, c'est un article du Devoir de Montréal qui me conforte dans mon choix. Merci au chef ... oups pardon, au chef Philippe Molé de me remonter le moral. On peut écouter quelques une des ses chroniques radio, dont celle-ci.
Entre poésie culinaire et valorisation du terroir, merci monsieur Mollé !
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Artisanalement vôtre